André Baillon: "Roseau", une biographie réinventée à travers un regard ironique

Abstract

En su último relato publicado, Roseau, André Baillon se complace una vez más en culpar a los responsables de sus eternas desgracias. El narrador, identificado como el "yo que ríe", retrata a Henri Boulant en sus primeros años de aprendizaje, los años decisivos en los que construyó una personalidad llena de complejos. El resentimiento del narrador se manifiesta en un tono irónico que hace más evidente la responsabilidad de los demás, a la manera de una caricatura que pone en evidencia sus defectos.

In his latest published narrative, Roseau, André Baillon once again indulges himself with an indictment of those he holds responsible for his eternal disgrace. The narrator, identified as the "I who laughs", brings back the character of Henri Boulant in the critical formative years of his complex-plagued personality. The narrator's rancour is revealed through an ironic tone that magnifies the responsibility of others, in the manner of a caricature that exaggerates their defects.

André Baillon dans son dernier récit édité, Roseau, se complaît encore une fois à accuser les responsables de ses éternels malheurs. Le narrateur, identifié comme le ‹‹Je qui rit ›› nous restitue un Henri Boulant dans ses premières années d'apprentissage, années décisives où il se bâtira une personnalité bourrée de complexes. La rancune du narrateur se manifeste à travers un ton ironique qui rend plus évidente la responsabilité des autres à la manière d'une caricature qui fait ressortir leurs défauts.